ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé, boîte de 28
Retiré du marché le : 30/01/2008
Dernière révision : 17/04/2007
Taux de TVA : 2.1%
Prix de vente : 8,85 €
Taux remboursement SS : 65%
Base remboursement SS : 8,85 €
Laboratoire exploitant : EG LABO
- Traitement de l'ostéoporose post-ménopausique.
- L'alendronate réduit le risque de fractures vertébrales et de la hanche.
- L'alendronate réduit le risque de fractures vertébrales et de la hanche.
- Hypersensibilité à l'alendronate, à d'autres bisphosphonates ou à l'un des excipients.
- Maladies de l'oesophage et autres facteurs qui retardent le transit oesophagien telles que sténose et achalasie.
- Incapacité de se tenir debout ou en position assise pendant au moins 30 minutes.
- Hypocalcémie.
Voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi.
- L'alendronate n'est pas recommandé chez les patientes présentant une insuffisance rénale caractérisée par un débit de filtration glomérulaire (DFG) inférieur à 35 ml/min (voir rubrique posologie et mode d'administration).
- Utilisation chez l'enfant : l'alendronate n'a pas été étudié chez l'enfant et ne doit pas lui être administré.
- En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
- Utilisation au cours de la grossesse : les informations relatives à l'utilisation de l'alendronate chez la femme enceinte sont insuffisantes. Les études sur l'animal ont révélé des effets sur l'ossification foetale à fortes doses. L'alendronate administré au cours de la grossesse chez le rat a provoqué une dystocie liée à une hypocalcémie. Etant donné son indication, l'alendronate ne doit pas être utilisé pendant la grossesse.
- Utilisation au cours de l'allaitement : on ne sait pas si l'alendronate est excrété dans le lait maternel humain. Etant donné son indication, l'alendronate ne doit pas être utilisé par les femmes qui allaitent.
- Maladies de l'oesophage et autres facteurs qui retardent le transit oesophagien telles que sténose et achalasie.
- Incapacité de se tenir debout ou en position assise pendant au moins 30 minutes.
- Hypocalcémie.
Voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi.
- L'alendronate n'est pas recommandé chez les patientes présentant une insuffisance rénale caractérisée par un débit de filtration glomérulaire (DFG) inférieur à 35 ml/min (voir rubrique posologie et mode d'administration).
- Utilisation chez l'enfant : l'alendronate n'a pas été étudié chez l'enfant et ne doit pas lui être administré.
- En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
- Utilisation au cours de la grossesse : les informations relatives à l'utilisation de l'alendronate chez la femme enceinte sont insuffisantes. Les études sur l'animal ont révélé des effets sur l'ossification foetale à fortes doses. L'alendronate administré au cours de la grossesse chez le rat a provoqué une dystocie liée à une hypocalcémie. Etant donné son indication, l'alendronate ne doit pas être utilisé pendant la grossesse.
- Utilisation au cours de l'allaitement : on ne sait pas si l'alendronate est excrété dans le lait maternel humain. Etant donné son indication, l'alendronate ne doit pas être utilisé par les femmes qui allaitent.
- L'alendronate peut entraîner une irritation locale de la muqueuse au niveau de la sphère digestive haute. En raison de la possibilité d'une aggravation d'une maladie sous-jacente, la prudence est de rigueur lorsque l'alendronate est donné à des patientes présentant une affection gastro-intestinale haute évolutive, telle qu'une dysphagie, une maladie oesophagienne, une gastrite, une duodénite, un ulcère, ou des antécédents récents (survenus au cours de l'année précédente) d'une maladie gastro-intestinale majeure telle qu'un ulcère gastrique, une hémorragie gastro-intestinale active ou une intervention chirurgicale sur la partie haute du tractus gastro-intestinal autre qu'une pyloroplastie (voir rubrique contre-indications).
- Des réactions oesophagiennes (parfois sévères et nécessitant l'hospitalisation), telles que des oesophagites, des ulcérations et des érosions oesophagiennes, rarement suivies d'une sténose de l'oesophage, ont été rapportées chez des patientes traitées avec l'alendronate.
- Par conséquent, les praticiens doivent être particulièrement attentifs à tout signe ou symptôme indiquant une possible réaction oesophagienne. On prescrira à la patiente d'arrêter l'alendronate et de consulter si elle présente des symptômes d'une irritation oesophagienne tels qu'une dysphagie, une odynophagie, des douleurs rétrosternales ou l'apparition ou l'aggravation de brûlures rétrosternales.
- Le risque de survenue d'effets indésirables oesophagiens sévères semble être plus élevé chez les patientes qui ne prennent pas l'alendronate correctement et/ou qui continuent à prendre leur traitement par l'alendronate après avoir développé des symptômes suggérant une irritation oesophagienne. Il est très important de fournir toutes les informations concernant l'administration du traitement à la patiente et de s'assurer qu'elle les assimile (voir rubrique posologie et mode d'administration). Il convient d'informer les patientes que la non observance de ces instructions est susceptible d'augmenter leur risque de présenter des troubles oesophagiens.
- En dépit de l'absence d'augmentation du risque dans les études cliniques à grande échelle, de rares cas (après la mise sur le marché) d'ulcérations gastrique et duodénale ont été observés, dont certaines ont présenté un caractère de gravité s'accompagnant de complications. Une relation de cause à effet ne peut être exclue (voir rubrique effets indésirables).
- L'alendronate n'est pas recommandé chez les patientes présentant une insuffisance rénale caractérisée par un débit de filtration glomérulaire (DFG) inférieur à 35 ml/min (voir rubrique posologie et mode d'administration).
- Il convient d'envisager d'autres origines à l'ostéoporose que la carence oestrogénique et le vieillissement.
- L'hypocalcémie doit être corrigée avant de commencer le traitement par l'alendronate (voir rubrique contre-indications).
- Les autres troubles du métabolisme osseux (tels qu'une carence en vitamine D et une hypoparathyroïdie) doivent également être corrigés de façon adéquate avant de commencer le traitement par l'alendronate. Chez les patientes présentant ces troubles, la calcémie et les symptômes d'hypocalcémie doivent être surveillés lors du traitement par l'alendronate.
- En raison des effets positifs de l'alendronate sur la densité minérale osseuse, des diminutions de la calcémie et de la phosphatémie peuvent survenir. Ces diminutions sont généralement de faible ampleur et asymptomatiques. Cependant, de rares cas d'hypocalcémie symptomatique ont été signalés, parfois sévères et apparaissant souvent chez les patientes ayant un terrain prédisposé (par exemple, hypoparathyroïdie, carence en vitamine D et en cas de malabsorption du calcium).
Il est donc particulièrement important de s'assurer que les patientes prenant des corticoïdes aient un apport adéquat en calcium et en vitamine D.
- En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
- Ostéonécrose de la mâchoire :
. Une ostéonécrose de la mâchoire, généralement associée à une extraction dentaire et/ou à une infection locale (y compris ostéomyélite), a été signalée chez des patients cancéreux recevant des protocoles thérapeutiques comportant des bisphosphonates essentiellement administrés par voie intraveineuse. Beaucoup de ces patients recevaient également une chimiothérapie et des corticoïdes. Une ostéonécrose de la mâchoire a également été signalée chez des patients atteints d'ostéoporose recevant des bisphosphonates par voie orale.
. Un examen dentaire avec des mesures préventives adaptées doit être envisagé avant un traitement par les bisphosphonates chez les patients qui présentent des facteurs de risque associés (par exemple cancer, chimiothérapie, radiothérapie, corticothérapie, mauvaise hygiène buccale).
. Pendant le traitement, ces patients devront éviter autant que possible les interventions dentaires invasives. Pour les patients qui développent une ostéonécrose de la mâchoire sous traitement par un bisphosphonate, les interventions chirurgicales dentaires peuvent aggraver la situation. Chez les patients pour lesquels une intervention dentaire est nécessaire, aucune donnée n'est disponible pour déterminer si une suspension du traitement par un bisphosphonate réduit le risque de développer une ostéonécrose de la mâchoire.
. L'appréciation clinique du médecin traitant devrait orienter la prise en charge de chaque patient en se basant sur l'évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque.
- Des réactions oesophagiennes (parfois sévères et nécessitant l'hospitalisation), telles que des oesophagites, des ulcérations et des érosions oesophagiennes, rarement suivies d'une sténose de l'oesophage, ont été rapportées chez des patientes traitées avec l'alendronate.
- Par conséquent, les praticiens doivent être particulièrement attentifs à tout signe ou symptôme indiquant une possible réaction oesophagienne. On prescrira à la patiente d'arrêter l'alendronate et de consulter si elle présente des symptômes d'une irritation oesophagienne tels qu'une dysphagie, une odynophagie, des douleurs rétrosternales ou l'apparition ou l'aggravation de brûlures rétrosternales.
- Le risque de survenue d'effets indésirables oesophagiens sévères semble être plus élevé chez les patientes qui ne prennent pas l'alendronate correctement et/ou qui continuent à prendre leur traitement par l'alendronate après avoir développé des symptômes suggérant une irritation oesophagienne. Il est très important de fournir toutes les informations concernant l'administration du traitement à la patiente et de s'assurer qu'elle les assimile (voir rubrique posologie et mode d'administration). Il convient d'informer les patientes que la non observance de ces instructions est susceptible d'augmenter leur risque de présenter des troubles oesophagiens.
- En dépit de l'absence d'augmentation du risque dans les études cliniques à grande échelle, de rares cas (après la mise sur le marché) d'ulcérations gastrique et duodénale ont été observés, dont certaines ont présenté un caractère de gravité s'accompagnant de complications. Une relation de cause à effet ne peut être exclue (voir rubrique effets indésirables).
- L'alendronate n'est pas recommandé chez les patientes présentant une insuffisance rénale caractérisée par un débit de filtration glomérulaire (DFG) inférieur à 35 ml/min (voir rubrique posologie et mode d'administration).
- Il convient d'envisager d'autres origines à l'ostéoporose que la carence oestrogénique et le vieillissement.
- L'hypocalcémie doit être corrigée avant de commencer le traitement par l'alendronate (voir rubrique contre-indications).
- Les autres troubles du métabolisme osseux (tels qu'une carence en vitamine D et une hypoparathyroïdie) doivent également être corrigés de façon adéquate avant de commencer le traitement par l'alendronate. Chez les patientes présentant ces troubles, la calcémie et les symptômes d'hypocalcémie doivent être surveillés lors du traitement par l'alendronate.
- En raison des effets positifs de l'alendronate sur la densité minérale osseuse, des diminutions de la calcémie et de la phosphatémie peuvent survenir. Ces diminutions sont généralement de faible ampleur et asymptomatiques. Cependant, de rares cas d'hypocalcémie symptomatique ont été signalés, parfois sévères et apparaissant souvent chez les patientes ayant un terrain prédisposé (par exemple, hypoparathyroïdie, carence en vitamine D et en cas de malabsorption du calcium).
Il est donc particulièrement important de s'assurer que les patientes prenant des corticoïdes aient un apport adéquat en calcium et en vitamine D.
- En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
- Ostéonécrose de la mâchoire :
. Une ostéonécrose de la mâchoire, généralement associée à une extraction dentaire et/ou à une infection locale (y compris ostéomyélite), a été signalée chez des patients cancéreux recevant des protocoles thérapeutiques comportant des bisphosphonates essentiellement administrés par voie intraveineuse. Beaucoup de ces patients recevaient également une chimiothérapie et des corticoïdes. Une ostéonécrose de la mâchoire a également été signalée chez des patients atteints d'ostéoporose recevant des bisphosphonates par voie orale.
. Un examen dentaire avec des mesures préventives adaptées doit être envisagé avant un traitement par les bisphosphonates chez les patients qui présentent des facteurs de risque associés (par exemple cancer, chimiothérapie, radiothérapie, corticothérapie, mauvaise hygiène buccale).
. Pendant le traitement, ces patients devront éviter autant que possible les interventions dentaires invasives. Pour les patients qui développent une ostéonécrose de la mâchoire sous traitement par un bisphosphonate, les interventions chirurgicales dentaires peuvent aggraver la situation. Chez les patients pour lesquels une intervention dentaire est nécessaire, aucune donnée n'est disponible pour déterminer si une suspension du traitement par un bisphosphonate réduit le risque de développer une ostéonécrose de la mâchoire.
. L'appréciation clinique du médecin traitant devrait orienter la prise en charge de chaque patient en se basant sur l'évaluation individuelle du rapport bénéfice/risque.
- Dans deux études cliniques d'une durée de trois ans chez des femmes ménopausées avec un protocole pratiquement identique, (10 mg d'alendronate : n = 196, placebo : n = 397), les profils globaux de tolérance de l'alendronate 10 mg/jour et du placebo ont été similaires.
- Les effets indésirables présentés par les investigateurs comme étant en relation possible ou probable avec le médicament ou incontestablement liés au médicament sont présentés ci-dessous s'ils sont apparus chez > = 1% des patients traités par 10 mg/jour d'alendronate et à une fréquence supérieure que chez les patients recevant le placebo dans les études sur trois ans :
Alendronate 10 mg/jour (n = 196) / Placebo (n = 397).
- Effets gastro-intestinaux :
. douleurs abdominales : 6,6% / 4,8%.
. dyspepsie : 3,6% / 3,5%.
. régurgitation acide : 2,0% / 4,3%.
. nausées : 3,6% / 4,0%.
. ballonnement abdominal : 1,0% / 0,8%.
. constipation : 3,1% / 1,8%.
. diarrhée : 3,1% / 1,8%.
. dysphagie : 1,0% / 0,0%.
. flatulences : 2,6% / 0,5%.
. gastrite : 0,5% / 1,3%.
. ulcère gastrique : 0,0% / 0,0%.
. ulcération oesophagienne : 1,5% / 0,0%.
- Effets musculosquelettiques :
. douleurs musculosquelettiques (douleurs osseuses, musculaires ou articulaires) : 4,1% / 2,5%.
. crampes musculaires : 0,0% / 1,0%.
- Effets neurologiques :
céphalées : 2,6% / 1,5%.
LES EFFETS INDESIRABLES SUIVANTS ONT ETE SIGNALES AU COURS DES ETUDES CLINIQUES ET/OU APRES LA COMMERCIALISATION DE L'ALENDRONATE :
- Troubles neurologiques :
Fréquents (> = 1/100, < 1/10) : céphalées.
- Troubles oculaires :
Rares (> = 1/10000, < 1/1000) : uvéite, sclérite.
- Troubles gastro-intestinaux :
. Fréquents (> = 1/100, < 1/10) : douleurs abdominales, dyspepsie, constipation, diarrhée, flatulences, ulcère oesophagien*, dysphagie*, ballonnement abdominal, régurgitation acide.
. Peu fréquents (> = 1/1000, < 1/100) : nausées, vomissements, gastrite, oesophagite*, érosion oesophagienne*, méléna.
. Rares (> = 1/10000, < 1/1000) : sténose de l'oesophage*, ulcération oropharyngée*, PUS (perforations, ulcères, saignement) de la partie haute du tractus gastro-intestinal, bien qu'aucune relation causale n'a été établie.
- Troubles cutanés et sous-cutanés :
Très rares (< = 1/10000) : des cas isolés de réactions cutanées sévères, y compris le syndrome de Stevens-Johnson et une nécrolyse épidermique toxique ont été rapportés.
- Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et osseux :
. Fréquents (> = 1/100, < 1/10) : douleurs ostéoarticulaires ou musculaires.
. Fréquence inconnue : ostéonécrose de la mâchoire.
. L'ostéonécrose de la mâchoire a été rapportée chez des patientes sous bisphosphonates. La majorité des cas touchait des patientes atteintes de cancers, mais de tels cas ont aussi été rapportés chez des patientes traitées pour de l'ostéoporose. L'ostéonécrose de la mâchoire est généralement associée à des extractions dentaires et/ou des infections locales (incluant l'ostéomyélite). Les cancers, la chimiothérapie, la radiothérapie, les corticostéroïdes et la mauvaise hygiène buccale sont des facteurs de risque (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi).
- Troubles généraux et réactions au niveau du site d'administration :
. Peu fréquents (> = 1/1000, < 1/100) : rash, prurit, érythème.
. Rares (> = 1/10000, < 1/1000) : réactions d'hypersensibilité dont urticaire et angio-oedème.
. Symptômes passagers tels que réactions aiguës (myalgie, sensation de malaise général, de rares cas de fièvre) habituellement en liaison avec le début du traitement. Rash avec photosensibilité.
. Hypocalcémie symptomatique, généralement en liaison avec des prédispositions (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi).
*Voir rubriques mises en garde et précautions d'emploi et posologie et mode d'administration.
- Effets biologiques :
Au cours des études cliniques, des diminutions discrètes, transitoires et asymptomatiques de la calcémie et de la phosphatémie ont été observées chez respectivement 18% et 10% des patients prenant 10 mg/jour d'alendronate contre environ 12% et 3% des patients sous le placebo. Néanmoins, les incidences d'une diminution de la calcémie à un taux < 2,0 mmol/L et de la phosphatémie à un taux < = 0,65 mmol/L ont été similaires dans les deux groupes thérapeutiques.
- Les effets indésirables présentés par les investigateurs comme étant en relation possible ou probable avec le médicament ou incontestablement liés au médicament sont présentés ci-dessous s'ils sont apparus chez > = 1% des patients traités par 10 mg/jour d'alendronate et à une fréquence supérieure que chez les patients recevant le placebo dans les études sur trois ans :
Alendronate 10 mg/jour (n = 196) / Placebo (n = 397).
- Effets gastro-intestinaux :
. douleurs abdominales : 6,6% / 4,8%.
. dyspepsie : 3,6% / 3,5%.
. régurgitation acide : 2,0% / 4,3%.
. nausées : 3,6% / 4,0%.
. ballonnement abdominal : 1,0% / 0,8%.
. constipation : 3,1% / 1,8%.
. diarrhée : 3,1% / 1,8%.
. dysphagie : 1,0% / 0,0%.
. flatulences : 2,6% / 0,5%.
. gastrite : 0,5% / 1,3%.
. ulcère gastrique : 0,0% / 0,0%.
. ulcération oesophagienne : 1,5% / 0,0%.
- Effets musculosquelettiques :
. douleurs musculosquelettiques (douleurs osseuses, musculaires ou articulaires) : 4,1% / 2,5%.
. crampes musculaires : 0,0% / 1,0%.
- Effets neurologiques :
céphalées : 2,6% / 1,5%.
LES EFFETS INDESIRABLES SUIVANTS ONT ETE SIGNALES AU COURS DES ETUDES CLINIQUES ET/OU APRES LA COMMERCIALISATION DE L'ALENDRONATE :
- Troubles neurologiques :
Fréquents (> = 1/100, < 1/10) : céphalées.
- Troubles oculaires :
Rares (> = 1/10000, < 1/1000) : uvéite, sclérite.
- Troubles gastro-intestinaux :
. Fréquents (> = 1/100, < 1/10) : douleurs abdominales, dyspepsie, constipation, diarrhée, flatulences, ulcère oesophagien*, dysphagie*, ballonnement abdominal, régurgitation acide.
. Peu fréquents (> = 1/1000, < 1/100) : nausées, vomissements, gastrite, oesophagite*, érosion oesophagienne*, méléna.
. Rares (> = 1/10000, < 1/1000) : sténose de l'oesophage*, ulcération oropharyngée*, PUS (perforations, ulcères, saignement) de la partie haute du tractus gastro-intestinal, bien qu'aucune relation causale n'a été établie.
- Troubles cutanés et sous-cutanés :
Très rares (< = 1/10000) : des cas isolés de réactions cutanées sévères, y compris le syndrome de Stevens-Johnson et une nécrolyse épidermique toxique ont été rapportés.
- Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et osseux :
. Fréquents (> = 1/100, < 1/10) : douleurs ostéoarticulaires ou musculaires.
. Fréquence inconnue : ostéonécrose de la mâchoire.
. L'ostéonécrose de la mâchoire a été rapportée chez des patientes sous bisphosphonates. La majorité des cas touchait des patientes atteintes de cancers, mais de tels cas ont aussi été rapportés chez des patientes traitées pour de l'ostéoporose. L'ostéonécrose de la mâchoire est généralement associée à des extractions dentaires et/ou des infections locales (incluant l'ostéomyélite). Les cancers, la chimiothérapie, la radiothérapie, les corticostéroïdes et la mauvaise hygiène buccale sont des facteurs de risque (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi).
- Troubles généraux et réactions au niveau du site d'administration :
. Peu fréquents (> = 1/1000, < 1/100) : rash, prurit, érythème.
. Rares (> = 1/10000, < 1/1000) : réactions d'hypersensibilité dont urticaire et angio-oedème.
. Symptômes passagers tels que réactions aiguës (myalgie, sensation de malaise général, de rares cas de fièvre) habituellement en liaison avec le début du traitement. Rash avec photosensibilité.
. Hypocalcémie symptomatique, généralement en liaison avec des prédispositions (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi).
*Voir rubriques mises en garde et précautions d'emploi et posologie et mode d'administration.
- Effets biologiques :
Au cours des études cliniques, des diminutions discrètes, transitoires et asymptomatiques de la calcémie et de la phosphatémie ont été observées chez respectivement 18% et 10% des patients prenant 10 mg/jour d'alendronate contre environ 12% et 3% des patients sous le placebo. Néanmoins, les incidences d'une diminution de la calcémie à un taux < 2,0 mmol/L et de la phosphatémie à un taux < = 0,65 mmol/L ont été similaires dans les deux groupes thérapeutiques.
Rester debout ou assis, pendant au moins une demi-heure après la prise de ce médicament et, dans tous les cas jusqu'à l'absorption des premiers aliments ou d'une autre boisson.
Ce médicament doit être pris le matin absolument à jeun, au moins une demi-heure avant le petit-déjeuner. La prise avec le repas ou avec une autre boisson (comme un jus de fruit ou un café) risque de diminuer ou de supprimer son effet.
PREVENIR VOTRE MEDECIN ET ARRETER IMMEDIATEMENT LE TRAITEMENT en cas de :
- difficultés ou douleurs à avaler,
- douleurs ou brûlures dans la poitrine,
- saignement digestif (vomissement de sang, coloration noire des selles).
PREVENIR LE DENTISTE que vous êtes traité par ce médicament en cas d'intervention ou de soins dentaires.
Ce médicament doit être pris le matin absolument à jeun, au moins une demi-heure avant le petit-déjeuner. La prise avec le repas ou avec une autre boisson (comme un jus de fruit ou un café) risque de diminuer ou de supprimer son effet.
PREVENIR VOTRE MEDECIN ET ARRETER IMMEDIATEMENT LE TRAITEMENT en cas de :
- difficultés ou douleurs à avaler,
- douleurs ou brûlures dans la poitrine,
- saignement digestif (vomissement de sang, coloration noire des selles).
PREVENIR LE DENTISTE que vous êtes traité par ce médicament en cas d'intervention ou de soins dentaires.
Utilisation au cours de la grossesse :
Les informations relatives à l'utilisation de l'alendronate chez la femme enceinte sont insuffisantes. Les études sur l'animal ont révélé des effets sur l'ossification foetale à fortes doses.
L'alendronate administré au cours de la grossesse chez le rat a provoqué une dystocie liée à une hypocalcémie (voir rubrique données de sécurité précliniques). Etant donné son indication, l'alendronate ne doit pas être utilisé pendant la grossesse.
Utilisation au cours de l'allaitement :
On ne sait pas si l'alendronate est excrété dans le lait maternel humain. Etant donné son indication, l'alendronate ne doit pas être utilisé par les femmes qui allaitent.
Les informations relatives à l'utilisation de l'alendronate chez la femme enceinte sont insuffisantes. Les études sur l'animal ont révélé des effets sur l'ossification foetale à fortes doses.
L'alendronate administré au cours de la grossesse chez le rat a provoqué une dystocie liée à une hypocalcémie (voir rubrique données de sécurité précliniques). Etant donné son indication, l'alendronate ne doit pas être utilisé pendant la grossesse.
Utilisation au cours de l'allaitement :
On ne sait pas si l'alendronate est excrété dans le lait maternel humain. Etant donné son indication, l'alendronate ne doit pas être utilisé par les femmes qui allaitent.
- En cas d'administration concomitante, il est probable que les aliments et les boissons (y compris l'eau minérale), les médicaments contenant du calcium, les anti-acides, ainsi que d'autres médicaments administrés par voie orale interfèrent avec l'absorption de l'alendronate.
- Par conséquent, les patientes doivent attendre au moins une demi-heure entre la prise de l'alendronate et la prise d'autres médicaments par voie orale (voir rubrique posologie et mode d'administration).
- Aucune autre interaction médicamenteuse ayant une signification clinique n'est attendue. Au cours des études cliniques, un certain nombre de patientes ont reçu des oestrogènes (par voie vaginale, cutanée, ou orale) alors qu'elles étaient traitées par l'alendronate. Aucun effet indésirable lié à cette association n'a été observé.
- Bien qu'aucune étude d'interaction spécifique n'ait été réalisée, l'alendronate a été administré de façon concomitante dans des études cliniques avec une gamme étendue de médicaments couramment utilisés sans interaction indésirable clinique patente.
- Par conséquent, les patientes doivent attendre au moins une demi-heure entre la prise de l'alendronate et la prise d'autres médicaments par voie orale (voir rubrique posologie et mode d'administration).
- Aucune autre interaction médicamenteuse ayant une signification clinique n'est attendue. Au cours des études cliniques, un certain nombre de patientes ont reçu des oestrogènes (par voie vaginale, cutanée, ou orale) alors qu'elles étaient traitées par l'alendronate. Aucun effet indésirable lié à cette association n'a été observé.
- Bien qu'aucune étude d'interaction spécifique n'ait été réalisée, l'alendronate a été administré de façon concomitante dans des études cliniques avec une gamme étendue de médicaments couramment utilisés sans interaction indésirable clinique patente.
Par voie orale uniquement.
- La posologie recommandée est de 10 mg une fois par jour.
- Pour permettre une absorption adéquate de l'alendronate :
ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé doit être pris à jeun immédiatement au lever matinal, avec un grand verre d'eau du robinet uniquement, au moins une demi-heure avant la première prise d'aliment, de boisson ou de tout autre médicament. Les autres boissons (y compris les eaux minérales), les aliments et les médicaments risquent de diminuer l'absorption de l'alendronate (voir rubrique interactions).
- Pour faciliter le passage dans l'estomac, et donc réduire le risque potentiel d'irritation ou d'effets indésirables locaux et oesophagiens (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi) :
. ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé doit être pris strictement au lever, avec un grand verre d'eau du robinet (minimum 200 ml).
. ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé doit être avalé entier. Les patientes ne doivent pas croquer, sucer le comprimé ou le laisser se dissoudre dans leur bouche en raison du risque potentiel d'ulcérations oropharyngées.
. Les patientes ne doivent pas s'allonger jusqu'à l'absorption des premiers aliments de la journée qui devront être pris au moins trente minutes après la prise du comprimé.
. Les patientes ne doivent pas s'allonger pendant au moins 30 minutes après la prise du comprimé.
. ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé ne doit pas être pris au coucher ou avant le lever.
. Les patientes traitées doivent être supplémentées en calcium et en vitamine D si leurs apports alimentaires sont insuffisants (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi).
- Utilisation chez les patientes âgées :
Les études cliniques n'ont révélé aucune différence liée à l'âge dans les profils d'efficacité et de sécurité d'emploi de l'alendronate. Par conséquent aucune modification de posologie n'est nécessaire chez les patientes âgées.
- Utilisation en cas d'insuffisance rénale :
Aucune modification de posologie n'est nécessaire chez les patientes ayant un débit de filtration glomérulaire (DFG) supérieur à 35 ml/min. En raison d'un manque d'expérience, l'alendronate n'est pas recommandé chez les patientes ayant un DFG inférieur à 35 ml/min.
- Utilisation en cas d'insuffisance hépatique :
Aucune modification de posologie n'est nécessaire.
- Utilisation chez l'enfant :
L'alendronate n'a pas été étudié chez l'enfant et ne doit pas lui être administré.
- La posologie recommandée est de 10 mg une fois par jour.
- Pour permettre une absorption adéquate de l'alendronate :
ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé doit être pris à jeun immédiatement au lever matinal, avec un grand verre d'eau du robinet uniquement, au moins une demi-heure avant la première prise d'aliment, de boisson ou de tout autre médicament. Les autres boissons (y compris les eaux minérales), les aliments et les médicaments risquent de diminuer l'absorption de l'alendronate (voir rubrique interactions).
- Pour faciliter le passage dans l'estomac, et donc réduire le risque potentiel d'irritation ou d'effets indésirables locaux et oesophagiens (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi) :
. ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé doit être pris strictement au lever, avec un grand verre d'eau du robinet (minimum 200 ml).
. ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé doit être avalé entier. Les patientes ne doivent pas croquer, sucer le comprimé ou le laisser se dissoudre dans leur bouche en raison du risque potentiel d'ulcérations oropharyngées.
. Les patientes ne doivent pas s'allonger jusqu'à l'absorption des premiers aliments de la journée qui devront être pris au moins trente minutes après la prise du comprimé.
. Les patientes ne doivent pas s'allonger pendant au moins 30 minutes après la prise du comprimé.
. ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé ne doit pas être pris au coucher ou avant le lever.
. Les patientes traitées doivent être supplémentées en calcium et en vitamine D si leurs apports alimentaires sont insuffisants (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi).
- Utilisation chez les patientes âgées :
Les études cliniques n'ont révélé aucune différence liée à l'âge dans les profils d'efficacité et de sécurité d'emploi de l'alendronate. Par conséquent aucune modification de posologie n'est nécessaire chez les patientes âgées.
- Utilisation en cas d'insuffisance rénale :
Aucune modification de posologie n'est nécessaire chez les patientes ayant un débit de filtration glomérulaire (DFG) supérieur à 35 ml/min. En raison d'un manque d'expérience, l'alendronate n'est pas recommandé chez les patientes ayant un DFG inférieur à 35 ml/min.
- Utilisation en cas d'insuffisance hépatique :
Aucune modification de posologie n'est nécessaire.
- Utilisation chez l'enfant :
L'alendronate n'a pas été étudié chez l'enfant et ne doit pas lui être administré.
Durée de conservation :
2 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas + 25°C.
2 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas + 25°C.
Sans objet.
- Une hypocalcémie, une hypophosphorémie et des événements indésirables de la partie haute du tractus gastro-intestinal, tels que mauvaise digestion, brûlures d'estomac, oesophagite, gastrite, ou ulcère, peuvent se produire en cas de surdosage par voie orale.
- On ne dispose pas de données spécifiques sur la conduite à tenir en cas de surdosage par l'alendronate. Du lait ou des anti-acides devraient être administrés afin de chélater l'alendronate. Pour éviter le risque d'irritation oesophagienne, il ne faut pas induire des vomissements et la patiente doit rester en position verticale.
- On ne dispose pas de données spécifiques sur la conduite à tenir en cas de surdosage par l'alendronate. Du lait ou des anti-acides devraient être administrés afin de chélater l'alendronate. Pour éviter le risque d'irritation oesophagienne, il ne faut pas induire des vomissements et la patiente doit rester en position verticale.
Classe pharmacothérapeutique : BISPHOSPHONATE, POUR LE TRAITEMENT DES MALADIES OSSEUSES, code ATC : M05BA04.
Le principe actif d'ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé, l'alendronate monosodique trihydraté, est un bisphosphonate qui inhibe la résorption osseuse des ostéoclastes sans effet direct sur la formation de l'os. Les études précliniques ont montré une localisation préférentielle de l'alendronate aux sites actifs de résorption. L'activité des ostéoclastes est inhibée, mais ni leur recrutement ni leur fixation ne sont affectés. Pendant le traitement par l'alendronate, la qualité de l'os formé est normale.
TRAITEMENT DE L'OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE :
- L'ostéoporose est définie par une densité minérale osseuse (DMO) au rachis ou au col du fémur à 2,5 écart-type en dessous de la valeur moyenne d'une population normale jeune ou par un antécédent de fracture de fragilité osseuse, indépendamment de la DMO.
- Les effets de l'alendronate sur la DMO et sur l'incidence des fractures, chez la femme post-ménopausée ont été analysés au cours de deux études d'efficacité initiales selon un protocole identique (n = 994) ainsi que dans l'étude Fracture Intervention Trial (FIT : n = 6459).
- Dans les études d'efficacité initiales, l'alendronate à la dose de 10 mg par jour pendant 3 ans, a entraîné des augmentations de la DMO au niveau du rachis lombaire, du col du fémur, et du trochanter respectivement de 8,8%, 5,9%, et 7,8%, par rapport au placebo. La DMO du corps entier a également augmenté de façon significative. Il y a eu une réduction de 48% du taux de patientes présentant une ou plusieurs fractures vertébrales dans le groupe traité par l'alendronate par rapport au groupe placebo (alendronate 3,2% et placebo 6,2%). Dans l'extension à 2 ans de ces études, la DMO au niveau du rachis et du trochanter a continué d'augmenter. De plus, la DMO du col du fémur et du corps entier se sont maintenues.
- L'essai FIT comprenait deux études contrôlées versus placebo avec l'alendronate en utilisation quotidienne (5 mg par jour pendant 2 ans et 10 mg par jour pendant un à deux ans supplémentaires).
. FIT 1 : une étude de 3 ans chez 2027 patientes ayant au moins une fracture (tassement) vertébrale. Dans cette étude, l'administration quotidienne d'alendronate a réduit l'incidence d'au moins une nouvelle fracture vertébrale de 47% (alendronate 7,9% et placebo 15,0%). De plus, une réduction statistiquement significative a été observée sur l'incidence des fractures de la hanche (1,1% et 2,2%, soit une réduction de 51%).
. FIT 2 : une étude de 4 ans chez 4432 patientes ayant une masse osseuse basse mais sans fracture vertébrale préexistante. Dans cette étude, dans l'analyse du sous-groupe des femmes ostéoporotiques (37% de la population globale qui correspond à la définition de l'ostéoporose ci-dessus), a été observée une différence significative de l'incidence des fractures de la hanche (alendronate 1,0% et placebo 2,2%, soit une réduction de 56%) et de l'incidence d'au moins une fracture vertébrale (2,9% et 5,8%, soit une réduction de 50%).
Le principe actif d'ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé, l'alendronate monosodique trihydraté, est un bisphosphonate qui inhibe la résorption osseuse des ostéoclastes sans effet direct sur la formation de l'os. Les études précliniques ont montré une localisation préférentielle de l'alendronate aux sites actifs de résorption. L'activité des ostéoclastes est inhibée, mais ni leur recrutement ni leur fixation ne sont affectés. Pendant le traitement par l'alendronate, la qualité de l'os formé est normale.
TRAITEMENT DE L'OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE :
- L'ostéoporose est définie par une densité minérale osseuse (DMO) au rachis ou au col du fémur à 2,5 écart-type en dessous de la valeur moyenne d'une population normale jeune ou par un antécédent de fracture de fragilité osseuse, indépendamment de la DMO.
- Les effets de l'alendronate sur la DMO et sur l'incidence des fractures, chez la femme post-ménopausée ont été analysés au cours de deux études d'efficacité initiales selon un protocole identique (n = 994) ainsi que dans l'étude Fracture Intervention Trial (FIT : n = 6459).
- Dans les études d'efficacité initiales, l'alendronate à la dose de 10 mg par jour pendant 3 ans, a entraîné des augmentations de la DMO au niveau du rachis lombaire, du col du fémur, et du trochanter respectivement de 8,8%, 5,9%, et 7,8%, par rapport au placebo. La DMO du corps entier a également augmenté de façon significative. Il y a eu une réduction de 48% du taux de patientes présentant une ou plusieurs fractures vertébrales dans le groupe traité par l'alendronate par rapport au groupe placebo (alendronate 3,2% et placebo 6,2%). Dans l'extension à 2 ans de ces études, la DMO au niveau du rachis et du trochanter a continué d'augmenter. De plus, la DMO du col du fémur et du corps entier se sont maintenues.
- L'essai FIT comprenait deux études contrôlées versus placebo avec l'alendronate en utilisation quotidienne (5 mg par jour pendant 2 ans et 10 mg par jour pendant un à deux ans supplémentaires).
. FIT 1 : une étude de 3 ans chez 2027 patientes ayant au moins une fracture (tassement) vertébrale. Dans cette étude, l'administration quotidienne d'alendronate a réduit l'incidence d'au moins une nouvelle fracture vertébrale de 47% (alendronate 7,9% et placebo 15,0%). De plus, une réduction statistiquement significative a été observée sur l'incidence des fractures de la hanche (1,1% et 2,2%, soit une réduction de 51%).
. FIT 2 : une étude de 4 ans chez 4432 patientes ayant une masse osseuse basse mais sans fracture vertébrale préexistante. Dans cette étude, dans l'analyse du sous-groupe des femmes ostéoporotiques (37% de la population globale qui correspond à la définition de l'ostéoporose ci-dessus), a été observée une différence significative de l'incidence des fractures de la hanche (alendronate 1,0% et placebo 2,2%, soit une réduction de 56%) et de l'incidence d'au moins une fracture vertébrale (2,9% et 5,8%, soit une réduction de 50%).
ABSORPTION :
- Par rapport à une dose de référence administrée par voie intraveineuse, la biodisponibilité absolue de l'alendronate chez la femme par voie orale est d'environ 0,64% pour des doses allant de 5 à 70 mg lorsqu'on l'administre à jeun après une nuit et deux heures avant un petit-déjeuner normal. Lorsque l'alendronate est administré une heure ou une demi-heure avant un petit-déjeuner normal, la biodisponibilité est diminuée de façon identique (valeur estimée à 0,46% et 0,39%). Dans les études réalisées dans l'ostéoporose, l'alendronate a été efficace lorsqu'on l'a administré 30 minutes au moins avant les premiers aliments ou boissons de la journée.
- La biodisponibilité a été quasi-nulle lorsque l'alendronate a été administré au cours d'un petit-déjeuner normal ou dans les deux heures qui ont suivi. L'administration concomitante d'alendronate avec du café ou du jus d'orange a réduit sa biodisponibilité d'environ 60%.
- Chez le sujet sain, l'administration de prednisolone par voie orale (20 mg 3 fois par jour pendant 5 jours) n'a pas produit de changement cliniquement significatif de la biodisponibilité orale de l'alendronate (augmentation moyenne comprise entre 20% et 44%).
DISTRIBUTION :
Les études chez le rat à la dose d'1 mg/kg par voie intraveineuse montrent que l'alendronate initialement réparti dans les tissus mous, est ensuite rapidement redistribué au niveau de l'os ou excrété dans les urines. Le volume moyen de distribution à l'équilibre est au moins de 28 litres chez l'homme. Après administration d'alendronate per os à doses thérapeutiques, les concentrations plasmatiques sont trop faibles pour permettre une détection analytique (< 5 ng/ml). La liaison aux protéines plasmatiques est d'environ 78%.
METABOLISME :
Aucun métabolisme de l'alendronate n'a été mis en évidence, ni chez l'homme ni chez l'animal.
EXCRETION :
- Après administration par voie intraveineuse d'une dose unique d'alendronate marqué au C14, environ 50% de la radioactivité est excrétée dans les urines dans les 72 heures. Peu ou pas de radioactivité est retrouvée dans les fèces. A la suite d'une dose intraveineuse de 10 mg, la clairance rénale de l'alendronate est de 71 ml/mn, et la clairance systémique ne dépasse pas 200 ml/mn. Les concentrations plasmatiques diminuent de plus de 95% dans les 6 heures qui suivent l'administration par voie intraveineuse.
- On estime que la demi-vie terminale chez l'homme est supérieure à 10 ans, reflétant ainsi la libération de l'alendronate à partir du squelette.
- Chez le rat, l'alendronate n'est pas excrété par les systèmes rénaux de transport acides ou basiques. L'alendronate n'est donc pas susceptible d'interférer avec d'autres substances sur ce système d'excrétion chez l'homme.
CARACTERISTIQUES DES PATIENTS :
Les études précliniques montrent que la fraction du médicament qui ne se dépose pas dans l'os est rapidement excrétée dans les urines. Chez l'animal, aucune preuve d'une saturation de la captation osseuse n'a été mise en évidence dans une étude à long terme après administration intraveineuse de doses répétées allant jusqu'à une dose totale de 35 mg/kg. Bien qu'aucune donnée ne soit disponible, il est vraisemblable que, comme chez l'animal, l'élimination d'alendronate par le rein soit diminuée chez les patientes ayant une insuffisance rénale. En conséquence, on pourrait s'attendre à une accumulation quelque peu supérieure d'alendronate dans l'os chez les patientes ayant une insuffisance rénale (voir rubrique posologie et mode d'administration).
- Par rapport à une dose de référence administrée par voie intraveineuse, la biodisponibilité absolue de l'alendronate chez la femme par voie orale est d'environ 0,64% pour des doses allant de 5 à 70 mg lorsqu'on l'administre à jeun après une nuit et deux heures avant un petit-déjeuner normal. Lorsque l'alendronate est administré une heure ou une demi-heure avant un petit-déjeuner normal, la biodisponibilité est diminuée de façon identique (valeur estimée à 0,46% et 0,39%). Dans les études réalisées dans l'ostéoporose, l'alendronate a été efficace lorsqu'on l'a administré 30 minutes au moins avant les premiers aliments ou boissons de la journée.
- La biodisponibilité a été quasi-nulle lorsque l'alendronate a été administré au cours d'un petit-déjeuner normal ou dans les deux heures qui ont suivi. L'administration concomitante d'alendronate avec du café ou du jus d'orange a réduit sa biodisponibilité d'environ 60%.
- Chez le sujet sain, l'administration de prednisolone par voie orale (20 mg 3 fois par jour pendant 5 jours) n'a pas produit de changement cliniquement significatif de la biodisponibilité orale de l'alendronate (augmentation moyenne comprise entre 20% et 44%).
DISTRIBUTION :
Les études chez le rat à la dose d'1 mg/kg par voie intraveineuse montrent que l'alendronate initialement réparti dans les tissus mous, est ensuite rapidement redistribué au niveau de l'os ou excrété dans les urines. Le volume moyen de distribution à l'équilibre est au moins de 28 litres chez l'homme. Après administration d'alendronate per os à doses thérapeutiques, les concentrations plasmatiques sont trop faibles pour permettre une détection analytique (< 5 ng/ml). La liaison aux protéines plasmatiques est d'environ 78%.
METABOLISME :
Aucun métabolisme de l'alendronate n'a été mis en évidence, ni chez l'homme ni chez l'animal.
EXCRETION :
- Après administration par voie intraveineuse d'une dose unique d'alendronate marqué au C14, environ 50% de la radioactivité est excrétée dans les urines dans les 72 heures. Peu ou pas de radioactivité est retrouvée dans les fèces. A la suite d'une dose intraveineuse de 10 mg, la clairance rénale de l'alendronate est de 71 ml/mn, et la clairance systémique ne dépasse pas 200 ml/mn. Les concentrations plasmatiques diminuent de plus de 95% dans les 6 heures qui suivent l'administration par voie intraveineuse.
- On estime que la demi-vie terminale chez l'homme est supérieure à 10 ans, reflétant ainsi la libération de l'alendronate à partir du squelette.
- Chez le rat, l'alendronate n'est pas excrété par les systèmes rénaux de transport acides ou basiques. L'alendronate n'est donc pas susceptible d'interférer avec d'autres substances sur ce système d'excrétion chez l'homme.
CARACTERISTIQUES DES PATIENTS :
Les études précliniques montrent que la fraction du médicament qui ne se dépose pas dans l'os est rapidement excrétée dans les urines. Chez l'animal, aucune preuve d'une saturation de la captation osseuse n'a été mise en évidence dans une étude à long terme après administration intraveineuse de doses répétées allant jusqu'à une dose totale de 35 mg/kg. Bien qu'aucune donnée ne soit disponible, il est vraisemblable que, comme chez l'animal, l'élimination d'alendronate par le rein soit diminuée chez les patientes ayant une insuffisance rénale. En conséquence, on pourrait s'attendre à une accumulation quelque peu supérieure d'alendronate dans l'os chez les patientes ayant une insuffisance rénale (voir rubrique posologie et mode d'administration).
ACIDE ALENDRONIQUE EG 10 mg, comprimé n'a aucun effet sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.
Les études conventionnelles de toxicité générale, de génotoxicité et du pouvoir carcinogène n'ont pas montré de risque particulier pour l'homme. Des études chez le rat ont montré que le traitement par l'alendronate pendant la grossesse a été associé à une dystocie chez les descendants à la mise bas, liée à une hypocalcémie. Dans les études, l'administration de doses élevées chez le rat a montré une augmentation de l'incidence d'une ossification foetale incomplète. Le risque chez l'homme est inconnu.
Pas d'exigences particulières.
Liste I.
Remboursement en fonction de l'indication (JO du 11/10/2006) :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l'assurance maladie sont les suivantes :
- Traitement de l'ostéoporose post-ménopausique pour réduire le risque de fractures vertébrales et de hanche :
. chez les patientes ayant fait une fracture par fragilité osseuse ;
. en l'absence de fracture, chez les femmes ayant une diminution importante de la densité osseuse (T score < - 3) ou ayant un T score < = - 2,5 associé à d'autres facteurs de risque de fracture, en particulier : un âge > 60 ans, une corticothérapie systémique ancienne ou actuelle à une posologie > = 7,5 mg/jour d'équivalent prednisone, un indice de masse corporelle < 19 kg/m², un antécédent de fracture de l'extrémité du col du fémur chez un parent du premier degré (mère), une ménopause précoce (avant l'âge de 40 ans).
- Traitement de l'ostéoporose masculine.
Remboursement en fonction de l'indication (JO du 11/10/2006) :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l'assurance maladie sont les suivantes :
- Traitement de l'ostéoporose post-ménopausique pour réduire le risque de fractures vertébrales et de hanche :
. chez les patientes ayant fait une fracture par fragilité osseuse ;
. en l'absence de fracture, chez les femmes ayant une diminution importante de la densité osseuse (T score < - 3) ou ayant un T score < = - 2,5 associé à d'autres facteurs de risque de fracture, en particulier : un âge > 60 ans, une corticothérapie systémique ancienne ou actuelle à une posologie > = 7,5 mg/jour d'équivalent prednisone, un indice de masse corporelle < 19 kg/m², un antécédent de fracture de l'extrémité du col du fémur chez un parent du premier degré (mère), une ménopause précoce (avant l'âge de 40 ans).
- Traitement de l'ostéoporose masculine.
Comprimé blanc à blanc cassé, de forme ovale, portant la mention "AN 10" sur une face et le logo d'EG sur l'autre.
Plaquette thermoformée (PVC/PE/PVDC/Aluminium), contenant 28 comprimés.